OURNÉE D’ÉTUDE “LE CORBUSIER : LE SUCCÈS ET SES LIMITES”

Publié le par Gérard Monnier

Journée d'étude, Digne, 26 octobre 2006



G. MonnierLe Corbusier : le succès et ses limites



Une figure de la modernité militante : architecture et urbanisme 


Une audience nationale, mais controversée ; une audience internationale très forte, à la mesure de ses talents de « messager » et de son engagement dans la communication : 

LC et la photo, LC et le livre, LC et le film


Des limites à son insertion dans le temps ; au marasme de l’entre deux-guerres succèdent la reconstruction puis la croissance ; des conditions et des demandes, après 1960 , complètement différentes. 


LC par exemple ne peut pas répondre à la demande l’industrialisation de la construction de logements


L’impact national de Le Corbusier, dont le travail à Marseille (1946-1952) devient une référence ; des conséquences régionales directes :


-à Marseille même, Boukobza et Dunoyer de Segonzac

-à Avignon, le lycée agricole


Mais dans ce qui n’est plus pour la modernité,  un désert ;  d’autres architectes nationaux dans la région :


-Paul Nelson à Arles : hôpital

-Guillaume Gillet à Avignon (église Saint-Joseph 1969) et à Marseille (Roy-d’Espagne) 

-et les travaux de Candilis pour le CEA à  Bagnols dur Cèze, Manosque, à Aix, Georges Candilis : le Petit Nice 1963-1964, Paul Quintrand : la maison évolutive, Eguilles 1967 



et pour ne rien dire des travaux sur les infrastructures et sur les équipements


-des chantiers majeurs :


Donzère-Mondragon 

Serre-Ponçon

La canalisation de la Durance

L’autoroute A7

Le CEA à Cadarache, après Pont-Saint-Esprit


des monuments industriels :


L’usine André Blondel 

L’usine hydro-électrique de Saint Chamas

L’usine hydro-électrique de Jouques : une nouvelle typologie

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